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Canines, incisives, prémolaires, molaires : chaque dent a une fonction bien précise chez l’être humain. Leur rôle principal est de nous permettre de mâcher les aliments et donc, de pouvoir nous nourrir !

Au-delà de leur rôle physiologique, les dents, qui font partie intégrante de notre visage, peuvent constituer un complexe important lorsque leur apparence n’entre pas dans les critères esthétiques de la société actuelle.

Et actuellement, la tendance est aux dents blanches. Une dentition blanche et éclatante est avant tout le signe d’une bonne hygiène bucco-dentaire, c’est un fait, mais elle répond surtout aux codes dictés par la tendance. Alors pour celles et ceux dont l’hygiène bucco-dentaire est excellente, mais dont la dentition est jaunie, la question de savoir comment obtenir des dents blanches se pose ! En effet, avoir les dents jaunes peut être une sérieuse source de complexes. La bouche est notre principal outil de communication avec les autres. Alors ne pas oser « l’ouvrir » faute de dents suffisamment blanches, peut altérer la sociabilisation de certaines personnes et leur faire perdre confiance en elles.

Des dents blanches oui, mais comment ?

La teinte des dents est unique à chaque individu et malheureusement, tous n’ont pas la chance d’afficher un sourire hollywoodien. Mais pour s’en rapprocher, il existe des solutions plus ou moins fiables. Avant de passer à l’action, il est important de définir son objectif. S’agit-il de supprimer des tâches dues à l’alimentation ou au tabac, ou de faire évoluer la teinte de ses dents de manière générale ? L’étape clé ? Une visite chez le meilleur conseiller qui soit en matière de dents : le chirurgien-dentiste !

Ses compétences lui permettent de vérifier la santé bucco-dentaire de son patient d’une part et, dans une démarche de blanchiment des dents, en venant le visiter en amont, son patient lui donne l’occasion de mieux se préparer notamment grâce à un polissage ou un détartrage. Le résultat final n’en est que meilleur !

Les solutions pour se blanchir les dents

Les produits abrasifs sont très souvent utilisés pour éliminer les taches sur les dents. En effet, une dent n’est jamais lisse. Elle comporte de nombreuses sinuosités, refuge idéal pour la plaque dentaire ! C’est là que le brossage régulier intervient. Même si la brosse à dents ne permet d’agir que sur 60% de la surface des dents, elle reste l’outil indispensable au quotidien pour conserver une bonne hygiène dentaire et limiter le dépôt de plaque, facteur de jaunissement. Lorsque les dents sont tachées par l’alimentation ou le tabac, la brosse à dents ne suffit pas. Des produits spéciaux sont nécessaires ! On trouve certains d’entre eux en grande surface ou en pharmacie. Leur capacité à enlever la plaque est un peu plus conséquente que celle du dentifrice. Ces produits que l’on appelle produits abrasifs, s’utilisent en moyenne 2 fois par semaine et ont pour action principale de lisser les dents.

Agir sur la teinte globale des dents constitue une seconde solution pour agir sur son sourire. Le jaunissement est une action naturelle du corps avec le temps qui passe. Alors il est possible de pallier cette évolution de teinte grâce à un éclaircissement. A la maison ou chez le dentiste, il s’agit d’appliquer du peroxyde d’hydrogène directement sur les dents. Le résultat est assez marquant, relevant même de la solution miracle dans certains cas !

Blanchiment : faut-il prendre cette pratique à la légère ?

Bien sûr, ce n’est pas en un passage sur le fauteuil du dentiste ou devant le miroir de sa salle de bains que l’on retrouve un sourire blanc comme neige. Il est important de savoir que, de manière générale, le blanchiment permet surtout d’éclaircir les dents, plus que de les blanchir.

Au-delà du résultat de simple éclaircissement, il faut noter qu’il n’est que temporaire. Nous l’avons précisé au-dessus, avec le temps, quoi qu’il en soit, les dents jaunissent. Alors blanchiment ou non, le processus n’est pas stoppé pour autant.

Nous l’avons évoqué, dans un processus de blanchiment, c’est le peroxyde d’hydrogène (mieux connu sous le nom d’eau oxygénée) qui, comme son nom l’indique, oxyde les molécules foncées qu’il trouve sur les dents.

Les produits vendus dans le commerce et que l’on peut trouver en libre-service contiennent une faible concentration de peroxyde d’hydrogène (0,1% maximum) alors que les dentistes eux, mieux préparés à son application, utilisent des produits plus concentrés (entre 0,1 et 6%).

Chez le dentiste, comment se passe l’intervention ?

Elle commence par un détartrage, ensuite l’éclaircissement peut se passer en suivant deux techniques différentes. La première nécessite une séance à domicile pendant laquelle le patient porte une gouttière en plastique, empreinte de sa dentition et qui contient un gel spécial destiné à blanchir ses dents. L’autre méthode se déroule au cabinet du chirurgien-dentiste. Le principe est le même : le patient porte une gouttière en plastique, mais sur une durée beaucoup plus courte et de ce fait, la concentration du produit dont il imprègne ses dents est beaucoup plus forte.

Alors bien sûr, ces interventions présentent des risques, comme l’irritation de la bouche et des gencives par exemple, mais aussi l’augmentation de la sensibilité des dents aux changements de température. Et c’est surtout lorsque le blanchiment est réalisé en dehors du cadre médical que l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) et la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) tirent la sonnette d’alarme. Avec la nouvelle tendance au sourire « ultra bright » fleurissent des « bars à sourire » qui, même s’ils ne sont pas des établissements de santé, pratiquent le blanchiment avec des produits dont la teneur en peroxyde d’hydrogène est bien supérieure à 0,1%.

Et si afficher un sourire ultra blanc sans aucun risque pour la santé était possible ?

Cela fait quelques années maintenant que les facettes dentaires ont fait leur apparition sur le marché de l’esthétique. Elles répondent parfaitement à la demande croissante des français d’afficher un sourire proche de la perfection.

Ces petites coquilles très fines se collent sur le devant de la dent et répondent ainsi parfaitement aux problématiques de dents jaunies, de chevauchement, d’espacement, de dent trop courte ou fêlée, etc. Elles sont constituées de céramique, un matériau dont les propriétés sont très proches de celles de la dent.

Par rapport au blanchiment, le résultat est bien plus efficace c’est sûr ! Leur pose nécessite parfois de tailler légèrement la dent, mais à bien moindre mesure que la pose d’une couronne, par exemple.

Laboratoire spécialisé dans la fabrication de prothèses dentaires depuis 2006, Protilab s’inscrit dans la mouvance de l’esthétique dentaire et s’est positionné sur le marché de la facette avec easyfit®.

Technologie brevetée par le laboratoire, les facettes pelliculaires easyfit® ont pour principal atout leur finesse (jusqu’à 0,3 millimètres). Et c’est grâce à leur fabrication assistée par ordinateur qu’une telle performance technique est possible. Elles assurent aux professionnels du dentaire, de pouvoir proposer à leurs patients une solution à la fois esthétique et très confortable. Conçues pour pallier plusieurs types d’imperfections comme par exemple la dyschromie, les dents écartées ou encore mal alignées, leur technologie leur permet de résister à l’abrasion. Les facettes pelliculaires easyfit® de chez Protilab résistent alors très bien au temps !

La pose de facettes, une solution simple, sérieuse et sans risque

 

 

La pose de facettes, au-delà de garantir un résultat en matière d’amélioration globale de la dent (couleur, défaut, etc.), permet aussi de remédier à plusieurs problématiques associées en même temps : par exemple une dent qui serait à la fois trop courte et jaunie.

Les seuls cas où les facettes ne peuvent pas être la solution aux problèmes esthétiques de dentition sont celui d’une trop mauvaise position initiale des dents qui nécessite la pose de bagues, ou encore sur des dents trop abîmées car elles manquent d’émail. Alors l’intervention n’est pas possible sans risquer d’endommager les dents davantage.

Et leur pose est très simple, surtout chez Protilab, où la technologie easyfit® présente l’avantage d’une pose extrêmement facile. Elle se fait avec un composite de collage : Variolink® Esthetic et ne nécessite que 2 ou 3 séances chez le chirurgien-dentiste.

En général, la première séance est consacrée à définir l’objectif esthétique du patient. A la deuxième séance, le médecin peut procèder à la taille des dents. Avec une facette classique, cette opération consiste à tailler l’émail plus précisément de manière à préparer le « support » destiné à recevoir la colle. Or la finesse de la facette easyfit® de Protilab ne nécessite pas que les dents soient taillées. L’argument est considérable ! Grâce à cette nouvelle technologie, la pose de facettes devient réversible, ce qui n’était pas le cas jusqu’à présent. Cette 2ème séance pourra également être celle de la prise d’empreinte.

La troisième et dernière séance est consacrée à la pose des facettes définitives, une séance qui dure en moyenne 3 à 4 heures, selon le patient.

Quelle enveloppe budgétaire prévoir pour la pose de facette ?

La pose de facette qui est une intervention d’ordre esthétique, n’est pas prise en charge par la sécurité sociale. Alors pour une facette en céramique, il faut prévoir entre 700 et 1400 euros selon le chirurgien-dentiste qui procède à l’intervention.